Tuesday, December 27, 2016





Viktwa  Freedom


Èske w la pou w sove peyi w oubyen w vin la pou w plen pòch ou 
Ou vin dirije avni n oubyen w vin ede n pran detou 
Ou jije moun sou sa l sanble oubyen sa k andan tèt ou 
Èske w ta pito on chato sou sab pase on pyès kay sou wòch tou 
Èske w tap ede n pote chay la ou met plis sou twòk nou 
Èske w se politik tounen biznis oubyen w la pou tèt nou 
Èske w sonje sa nou sakrifye, èske w konnen istwa nou 
Oubyen èske w santi w deprime paske w te pèdi moun tou 
Èske ou viv nan reyalite oubyen ou viv nan rèv ou 
Èske w son patriyòt la kòmanse pa rekònèt nou 
Respekte kominote a oubyen ou pa care tou 
Èske ou oblije bwè tafya oubyen w la w ap fimen bòz tou 
Èske sa se lajan sal li ye oubyen ou te travay di tou 
Èske w ta renmen peyi n pwogrese oubyen nou fè bak 
Èske w ta renmen nou viv an pè oubyen nou viv an atak 



Yo te di n linyon fè lafòs se repons pwoblem nan 
Paske m ta pito wè batèm pase m wè antèman 
E lè m wè timoun nan mizè se tankou m wè frè m nan 
Kòmsi l te chita bò kote m e n ap reve chanjman 
Èske n ap dekouraje moun oubyen envesti nan lespwa 
Èske si m fè on pitit an Ayiti li ka jwenn fiti la 
Èske se on maladi mantal ki fè w bliye se fanmi m sa 
Èske w te janm viv nan fè nwa w al chèche dlo nan tèt mòn nan 
Èske si n edike pèp la yo t ap sispann koupe pye bwa 
Èske si jenès jwenn travay anpil vyolans pa tap sispann 
Èske n ap janm kanpe ansanm si se pa menm rèv nan defann 
Èske si m pran tout kesyon m met nan mizik mwen nou t ap reponn 



Bondye se wa a rèn sèlman l kreye 
Pa kite sikonstans lavi a fè w bliye sa 
Chak moun s on mirak pou tèt li 
Mirak rive sonje fiti a se nou l ye 
Pouvwa nan men nou an ale 




@FREEDOM 

Friday, December 9, 2016





Haiti à l'aube de 2017 : à quand la stabilité et la prospérité?





L’année 2017 est dans nos murs. Notre chère Haïti, malgré ses 213 années d`indépendance, se dessine comme un bébé en souffrance au moment de l’accouchement. S’il devait y avoir une fin pour ce monde, notre alma mater, cher Haïti, partira

Haïti a connu et connaît encore des luttes intensives de contestation et de déchoucage. Toujours les mêmes problèmes, les mêmes histoires à mesure que les chefs d’administration et de gouvernement s`en vont et s’en viennent.
Le problème de coup d’État militaire, dans les années antérieures, et de déchoucage, ces dernières années, n’est-il jamais posé à fond pour être analysé sérieusement par ceux qui accèdent au haut commandement du pays ? Est-ce un problème idéologique, sociologique ou culturel ?
Pourquoi ne voulez-vous pas tirer des leçons positives de notre histoire ? Quand on pense à la situation de certains pays de la région caribéenne, aux multiples prêts et dons dont Haïti a bénéficié et a disposé, au nombre d’Haïtiens honnêtes qui ont des expertises à l`étranger et qui veulent offrir leurs services à leur pays, Haïti devrait-il être toujours un état misérable et de dispute, le plus pauvre de l’Amérique ?
À chaque période électorale, ce sont des dizaines, voire des centaines de gens qui se portent candidats. Mais, jamais ils n’ont un plan de développement qui reflète les besoins réels et nécessaires de la nation ni un rêve visant à rassembler les Haïtiens de toute tendance, de toute classe et de toute race.
Est-ce qu’un nommé, un élu ou un soi-disant élu s’est jamais penché sur le sort des Haïtiens les plus démunis ou tout au moins posé les questions ?
Pourquoi, en 2016, des paysans haïtiens marchent les pieds nus, au point d’attraper la lèpre, comme c’est le cas à Petite–Rivière de l’Artibonite ?
Pourquoi les marchands et marchandes haïtiens ne peuvent-ils pas bénéficier d’un système de transport en commun adéquat au lieu d’être obligés de parcourir des kilomètres avec un panier ou un sac sur leur tête, traînant derrière eux un animal pour se rendre au marché ?
Pourquoi des enfants, des jeunes, des adultes sont-ils obligés de marcher des heures à la recherche du liquide précieux qu’est l’eau ?
Comment comprendre que l’élargissement des villes et des communautés se fassent anarchiquement, sans plan d’urbanisation, sans contrôle des constructions, de la circulation, de la protection des vies et des biens ?
Haïti, la première République noire et indépendante, n’a pas fait honneur à ses anciens héros aux yeux du monde. Elle n’a pas su tenir le flambeau de république exemplaire, habitée d’hommes et de femmes sérieux, intègres, dignes, compétents, conséquents, luttant pour le progrès, la stabilité et le bien-être social et économique.
Ainsi, peut-on comprendre et expliquer pourquoi la dernière administration à la magistrature de l’État s’est fait hurlée, criaillée, jusqu’à la demande de sa démission ? Peut-on parler de la mauvaise compréhension de la réalité sociale haïtienne ? Peut-on invoquer une mauvaise utilisation ou distribution des biens du pays ? Peut-on se fier aux gens qui parlent de la mainmise des biens du pays par une classe dominante ?
Est-ce la peur d’un retour à la dictature parce que l’administration exige que tout soit en rose dans les institutions étatiques, que l’on s’habille en rose lors des rencontres et que la couleur rose soit même imposée sur les pylônes électriques, les héros de l’Indépendance à l’entrée du Cap-Haitien, les tribunaux civils… ?
Est-ce une anticipation de cette fameuse lutte de couleurs qui se dessine sous le ciel de la région métropolitaine quand des manifestations lancent : « Dessalines ap pase pran Pétion » ? Ce qui n’est pas sans rappeler les slogans de l’administration Lavalas dans les années 90-91 : « Wòch nan dlo pa konn doulè wòch nan soley » ; « Lè nou grangou, leve tèt nou gade anwo ».
Autant de questions qui n’ont sûrement jamais été débattues et élucidées dans les grandes réunions politiques. Une fois de plus, l’histoire d’Haïti est mal apprise et mal comprise par cette administration qui pensait et comprenait que tout était rose et que tous les Haïtiens, même ceux des régions les plus reculées du pays, avaient une vie en rose.
Haïtiens, Haïtiennes ! Souvenez-vous de la fameuse perception informelle d’un dollar par transfert, sous le gouvernement Lavalas de 1990 baptisée VOAM : « Voye Ayiti Monte ». Il n’y a jamais eu de compte rendu sur l’utilisation de cet argent.
Haïtiens, Haïtiennes ! Quels rapports détaillés détenez-vous de la signifiante valeur d’un dollar américain et demi perçu sur chaque transfert venant de l’étranger ? Pas un mot des législateurs qui ont un pouvoir de contrôle ! D’ailleurs, certains d’entre eux s’étaient rangés du côté de l’administration pour s’enrichir et cautionner des gabegies.
Une fois encore l’histoire se répète, mais sans qu’aucune leçon ne soit tirée et apprise par les politiciens véreux.
Les années passent :
Haïti se détériore par l’atmosphère politique, le déclin des conditions de vie. Haïti se dégrade par la destruction de son environnement, la compromission de la formation et le développement de l’être haïtien. Haïti s’effondre par la mauvaise gestion de la circulation des richesses et de leur répartition.
Les administrations haïtiennes, quel que soit son régime politique, n’ont jamais tenté de rassembler et d’offrir à toute la population des services de qualité et équitables, n’ont jamais opté pour une politique de coexistence.
Avec le combat de Vertieres, qui avait débouché sur l’Indépendance du pays en janvier 1804, les esclaves d’alors recherchaient la liberté de penser, de choisir, de se diriger et de vivre… Après la longue et sanglante lutte contre la dictature des Duvalier en 1986, le peuple Haïtien en grande partie se replaçait sur la carte du monde et optait pour une formule politique démocratique ayant trois pouvoirs indépendants : exécutif, judiciaire et législatif dont le dernier a une noble mission de contrôle.
Mais pourquoi tous ceux qui arrivent à la magistrature suprême opposent et refusent catégoriquement que le Législatif remplisse son pouvoir de contrôle ?
Le chef de gouvernement de la dernière administration et également ministre de la Planification a boudé au moins trois invitations des Pères conscrits, même celle où il devait se présenter pour soutenir le projet de loi de finances de la République.
Est-ce par innocence, par incompréhension, par incompétence ou par autorité ? Pourtant, il vaquait à ses occupations : missions, tournées, « Gouvènman lakay » à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Mais, pourquoi, par la suite, exigera-t-il que le projet de loi de finances (le budget) soit mis en application sans être présenté et homologué et sans aval du sénat. « Tel qui rit vendredi, pleurera dimanche », un vieil adage qui s’adapte bien en Haïti.
La magistrature suprême d’Haïti n’avait-elle pas une stratégie électorale visant à gérer la continuité ? N’avait-elle jamais pensé, réfléchi au carrefour du peuple, l’incontournable qui l’oblige à changer de direction dans peu de temps ?
Par le passé, beaucoup de chefs d’État ont toujours voulu gérer leur carrière de vie politique par la gestion de la continuité. Attention ! Aujourd’hui, c’est diffèrent des années soixante (60), où la guerre froide préoccupait l’esprit de tous.
Politiciens véreux, citoyens malhonnêtes, pensez à avoir une perception rationnelle de l’avenir afin de bannir les mauvaises pratiques et de rompre avec tous les mauvais clichés du passé qui ont fait grand tort à ce pays.
Les porte-parole, proches et fans de l’administration haïtienne, nient tout problème d’inégalité, d’injustice sociale, d’insécurité alimentaire, de chômage. Pour eux, le pays va à merveille. Les cinq « E » des cinq axes de développement scintillent en rose partout au pays.
Entre temps, c’est la hausse vertigineuse des taxes sur les services publics ; hausse des prix de l’essence, de la carte d’identité, des timbres du passeport ; hausse des prix sur les appels téléphoniques, les ventes et achats d’animaux et les produits importés.
L’Année 2017 est là. Que tous ceux et toutes celles qui ont le pouvoir de servitude révisent leur diplomatie vis-à-vis de l’alma mater ! Que ce territoire cesse d’être la propriété d’un petit groupe, mais celle de tous ses habitants haïtiens qui rêvent de stabilité et de prospérité !
Haïtiens, Haïtiennes, du courage !

Tuesday, November 29, 2016



                   Haiti avant tout


Le Peuple haitien  a fait le choix de la démocratie et de l’état de droit. La démocratie est un processus exigeant et difficile. C’est un grand acte de confiance. La démocratie, c’est décider qu’un million huit-cent mille personnes sauront écrire ensemble leur histoire, qu’ils sauront se parler sans se battre et que leurs différents ne seront jamais plus forts que leur passion pour leur pays et leur unité.
Ces valeurs font désormais partie de notre vivre-ensemble. Aussi, est-il du devoir du Président de la République élu , de veiller à l’ancrage et à la sauvegarde de ces valeurs que nous avons choisies et qui fondent la société tout en marquant notre ouverture au monde et au progrès. Le progrès c’est l’affaire de tous. Et pour qu’il soit ainsi, il faut le consensus et le respect des Institutions et du rythme démocratique.
Le 20 novembre  dernier, notre pays a organisé l’élection présidentielle, à travers un processus démocratique reconnu par tous, y compris par les observateurs étrangers.
C’est le lieu pour moi ici de féliciter tous les acteurs qui ont pris part, chacun à leur niveau, et tout particulièrement les électeurs qui ont fait montre de responsabilité et de patriotisme .Notre pays traverse une période préoccupante de son histoire. Chacun de nous doit pouvoir prendre conscience des difficultés économiques et sociales que nous traversons et des défis politiques que nous avons à relever tous ensemble .Notre Pays, notrehaiti cheri, a besoin de nouvelles espérances pour lutter et contrer le désespoir chez bon nombre d’entre nous.
Il n’y a pas de fatalité à la pauvreté, au chômage, à la maladie, à la souffrance et à l’ignorance. Ce sont des combats qu’il nous faut mener au quotidien.
Il faut donc œuvrer avec plus de conviction et de détermination pour rétablir l’espérance chez tous nos compatriotes, car l’espoir est un état d’esprit que nous devons reconquérir pour mieux affronter les écueils et relever les défis qui se dressent chaque jour devant nous.Je reste conscient que notre pays devra rentrer dans une nouvelle ère : celle d’un Haiti protecteur, plus juste et plus prospère. C’est dans ce cheminement collectif vers un destin partagé et dans la paix que je pense  notre Haiti peut renaitre de ces cendres. 

10/29.2016
@David NELSON



Tuesday, November 1, 2016







Rwa ak REY gouyadè

Gede Nibo, mèt kalfou
nan pla men ou lavi desine
ou nan lavi ou nan lanmò 

men se nan ren ou lavi fleri
tankou flè flanbwayan.
Rwa gouyadè
moun foli-debyen je-drandran
mèt twaze ou jouk retsezi,
nan mond natirèl la, san gouyad
pa gen repwodiksyon. Yon dous, yon cho.
Gede Nibo, kapitèn dousè, rwa gouyadè
ou kolon pase poban nan bouch granmoun,
ou dous pase siwo kann nan boutèy Dantò; 

kote ou pase ou sou twa pye 
tout fanm matire ofri ou tete
pou tchovi ka grandi potorik.
Yon dous, yon cho
fanm resevwa nan toubiyon gouyad,
oumenm ou monte yo ak gouyad kosmik;
planèt yo fè woulawoup nan ren ou.
Gede Nibo, se ou ki gen sekrè plezi,
se ou ki pimante lavi nan boutèy Ginen ou,
se ou ki bay syèl la gouyad pou yon lapli dechay
ka kannale nan sous fanm kote lavi bay payèt.


+David Nelson 
11/01/2016

Tuesday, October 25, 2016





Entelektyèl Komokyèl


Mesyedam, bonjour ! .
lè nouvèl 
Non mwen se Doktè Entelektyèl Komokyèl
Mwen fèt Ayiti Tonma.
Mwen gen yon dal ak yon pakèt konesans
Nan domèn Pa Konn Fè Anyen
Ak plizyè diplòm mwen pran
Nan Inivèsite Wazif
Mwen dekwoche yon metriz
Èks-Lèt nan Filozofi
Grate Santi
Fini m te fin diplome
M al fè plizyè estaj kay Doktè Joujou Lakonmedi
Msye se yon Espesyalis Toutis Entènasyonalis,
Yon zotobre byen repite nan domèn nan.
Mwen chaje ak plan pou m al devlope Ayiti.
Mwen pa nan politik
Men m sipòte 

Kèlkeswa gouvènman k monte
Pou gouvène lapatri.
Mwen pa renmen wè pèp k ap pale
K ap revandike, ranse pou ti krik ti krak
Epitou lè m ap fè bèl diskou
Pawòl tafya an franse
Moun sa yo pa tande.
Apre tout konesans mwen,
Inivèsite Bòkyè
Ban m yon doktora nan Syans Pa Konn Fè Anyen
Ak anpil lòt gwo diplòm nan
Syans Tann Blan Vin Fè.
Mwen pa nan Politik, se vre
Men ou pa janm konnen kote dlo pase
Li antre nan bwa joumou.
Sètadi, si se ta dezi pèp la yon lè
Pou ta chwazi m kòm lidè
Ke sa volonte swa fèt !


@DAVID NELSON 
10/25/2016


Eleksyon konfizyon



Timoun mande gonmbo cho, ba li l nan plan men
Si l boule, di l se pou sere dan mare ren
Pouki l bezwen plenyen lè l wè konplo mare? 
Se reziyen l, sere dan l epi pran l jan l ye

Tonnè krizòl! Ti konmèdè fè bon boule
Se rezilta enpètinans timoun fwonte
Fwa sa a, wè pa wè antèman pa pou katrè
Kadav fin gate, gwo reta pou fòseyè

Kandida dasomann deja elimine
Kandida potanta pa wè kote yo ye
Pèp la konn sou men l pa konn fou lè l bwè tafya
Li swaf, li bwè men l pa pèdi tèt li pou sa

Yon dal magouy pou Ayiti ret nan koma
Enpas kot anpil kandida pran nan twa wa
Yon fanm ki gen tranche ki pa ka delivre
L ap rele: «penn pou youn, alsiyis te pou de!»

+David Nelson 10/25/2016

Friday, October 21, 2016





                Haiti un avenir incertain  avec ces politiciens corrompus
                Est-ce que cela dérange?




Une fois encore de plus, je suis d’accord que ce n’est pas normal que le peuple Haitien, se réveille le matin en se demandant quand viendra son tour et où passerait-il la nuit, à la morgue ou au cimetière, tant, de graves violations des droits humains et des exécutions sommaires se banalisent. Cette tragique situation se déroule au vu et au su de la communauté internationale pourtant représentée dans le pays qui ne semble guère pressée pour secourir le peuple Haitien en détresse. 

Je pense que la cause de l’abstention aux élections, ainsi que les raisons du divorce entre dirigeants du pays et population, surtout jeune, n’est pas d’ordre matériel, c’est une crise de sens. Comment les gouvernants et d’une façon générale tous les politiciens professionnels peuvent-ils encore croire qu’en étant complètement déconnectés du peuple comme ils le sont, leur parole a encore une valeur quelconque ? Pensent-ils réellement que se faire élire sur des promesses qu’ils ‘empressent d’oublier une fois élus, quand ils ne font pas exactement le contraire, va amener un climat de confiance avec le peuple ? Pour l’instant, c’est une majorité d’abstention, mais demain ? Ne courre-t-on pas le risque de voir une révolte se manifester … pour le meilleur, ou pour le pire ?


Nos politiciens professionnels font partie d’une vaste clique aristocratique et criminelle dans ses menées anti-démocratiques et anti-humanistes. Une clique bien organisée puisqu’elle a su se diversifier pour lancer ses agressions contre le peuple, la société et la civilisation. Elle a su investir les médias de masse pour sa propagande, noyauter les partis politiques et les syndicats, corrompre ou éliminer les administrateurs publics au niveau national et dans les organisations internationales pour y placer ses agents, financer des think-tanks et autres officines de désinformation, mettre à son service des universitaires et des pans entiers du système académique pour donner un vernis d’honorabilité et de sérieux à ses projets.


Ces politiciens, menteurs et hypocrites qui ne cherchent qu’à maintenir leurs privilèges et qui sont totalement soumis à « la grande bourgeoisie » ne sont qu’un rouage de cette dangereuse machine néoconservatrice qui vise d’un coté à vendre l’Etat Haitien, ses droits légitimes et ses biens à une poignée d’intérêts étrangers et d’agioteurs atlantistes et de l’autre à pousser les haitiens à la zizanie civile. Comme disait un néoconservateur américain : « c’est en plongeant les masses dans le chaos que nous pourrons continuer à profiter de nos privilèges  »


Vraiment, c’est un miracle que les peuples ne se révoltent pas de façon violente. Mais pour combien de temps encore ? Peut-on espérer que ces politiciens se réveillent un jour avant qu’il ne soit trop tard ? Personnellement, j’en doute. Mais heureusement, d’autres « forces » agissent dans ce monde et œuvrent pour le bien être véritable de l’humanité. Il n’est pas trop tard pour les dirigeants politiques de changer d’optique s’ils ne veulent pas finir dans les poubelles de l’histoire, au mieux. Je préfère ne pas envisager le pire.


+David Nelson 
10/21/2016



Thursday, October 6, 2016




Jehova

Tande Papa Bondye
Imajine Manman Mari ki ape kriye lè Jezi fèk ale
Kounya ansanm priye
Gade reyalite peyi ou
Ou wè inifye, sèl jan pou n avanse
Jehova Senyè mwen santi m fatige
Sou tè dekouraje

Pa wè kote m m’prale
O Papa Bondye m’bezwen w vin enspire m
Pou m kontinye lite, pou m ka fè sa chanje
Nan tout tribilasyon ke m janm pase nan lavi m
Se yon sèl bagay ki sove m se lè syèl la fè m signe
Lè m pèdi m’toujou vin jwenn wout la pou mwen retounen

M’konnen nenpòt pwoblèm mwen rankontre l’ap toujou fè m soti
Ke m si m bloke, m’anik priye m’wè solisyon vini
Gen de lè m’reflechi m’sonje lè m te bloke nan lapli
Bagay yo te di, mezanmi m’goumen jouk lè m reyisi
Si se pat pou Bondye m’pa t’ap k’ap jamè rive
Se sak fè chak mizik mwen kreye m’oblije remèsye l

Chak tier de l’univers s’on ansyen simityè, alò orevewa frè
Yo mete l anba tè men nan vizyon nou wè l anlè
Messi k parèt la mete m an kòlè, twòp solda ret dèyè
5 è dimaten w’a jwen mwen nan priyè, m’ap goumen ak lisifè
Kout baton kout fè, Satan tonbe atè
Nou travèse rivyè, lot mwayen pi klè pou ede n wè pi klè
Fènwa klere nan tout koulè, nou fè vizyon limyè
Evolisyon sèl solisyon, aba sistèm pwostitisyon
Hallucination, ilizyon lè n te kanpe sou Mòn Siyon
Gade kounya nou Babilòn, san, lafimen, zam kouvri zò n

@freedom recordz
CHRISTOPHER LAROCHE




Jehova

Tande Papa Bondye
Imajine Manman Mari ki ape kriye lè Jezi fèk ale
Kounya ansanm priye
Gade reyalite peyi ou
Ou wè inifye, sèl jan pou n avanse
Jehova Senyè mwen santi m fatige
Sou tè dekouraje

Pa wè kote m m’prale
O Papa Bondye m’bezwen w vin enspire m
Pou m kontinye lite, pou m ka fè sa chanje
Nan tout tribilasyon ke m janm pase nan lavi m
Se yon sèl bagay ki sove m se lè syèl la fè m signe
Lè m pèdi m’toujou vin jwenn wout la pou mwen retounen

M’konnen nenpòt pwoblèm mwen rankontre l’ap toujou fè m soti
Ke m si m bloke, m’anik priye m’wè solisyon vini
Gen de lè m’reflechi m’sonje lè m te bloke nan lapli
Bagay yo te di, mezanmi m’goumen jouk lè m reyisi
Si se pat pou Bondye m’pa t’ap k’ap jamè rive
Se sak fè chak mizik mwen kreye m’oblije remèsye l

Chak tier de l’univers s’on ansyen simityè, alò orevewa frè
Yo mete l anba tè men nan vizyon nou wè l anlè
Messi k parèt la mete m an kòlè, twòp solda ret dèyè
5 è dimaten w’a jwen mwen nan priyè, m’ap goumen ak lisifè
Kout baton kout fè, Satan tonbe atè
Nou travèse rivyè, lot mwayen pi klè pou ede n wè pi klè
Fènwa klere nan tout koulè, nou fè vizyon limyè
Evolisyon sèl solisyon, aba sistèm pwostitisyon
Hallucination, ilizyon lè n te kanpe sou Mòn Siyon
Gade kounya nou Babilòn, san, lafimen, zam kouvri zò n

@freedom recordz
CHRISTOPHER LAROCHE

Wednesday, September 28, 2016




CES ORDURES QUI NOUS GOUVERNENT....



Je pense que la cause de l’abstention aux élections, ainsi que les raisons du divorce entre dirigeants du pays et population, surtout jeune, n’est pas d’ordre matériel, c’est une crise de sens. Comment les gouvernants et d’une façon générale tous les politiciens professionnels peuvent-ils encore croire qu’en étant complètement déconnectés du peuple comme ils le sont, leur parole a encore une valeur quelconque ? Pensent-ils réellement que se faire élire sur des promesses qu’ils ‘empressent d’oublier une fois élus, quand ils ne font pas exactement le contraire, va amener un climat de confiance avec le peuple ? Pour l’instant, c’est une majorité d’abstention, mais demain ? Ne courre-t-on pas le risque de voir une révolte se manifester … pour le meilleur, ou pour le pire ?

Où sont les valeurs essentielles de l’humanité dans ces politiques qui se suivent et se ressemblent ? On nous bourre le crâne de : compétitivité et de méritocratie, en nous cachant soigneusement la réalité d’une petite classe qui s’autogénére et nous tond la laine sur le dos ! 

Leur seule utilité est de renforcer les profits d’une petite minorité de prédateurs et de donner une caution intellectuelle à toutes les politiques ultralibérales qui privent l’Etat de ses moyens d’actions et l’accule à la ruine. Sans l’intervention régulatrice de la collectivité nationale sur les flux de marchandises et sur les capitaux, et faute de ressources budgétaires, toutes les autres missions publiques concernant l’éducation, la recherche, la santé publique, l’innovation, la formation professionnelle, la culture, la sécurité alimentaire, l’énergie, etc. sont abandonnées dans les griffes d’organisations anonymes lucratives et maffieuses.
 Je disais plus haut que c’était une crise de sens qui était la cause du malaise des peuples, il faut insister sur ce point. Croit-on vraiment que c’est en enseignant le mythe du « winner » et en développant la cupidité que l’on va vers un monde meilleur ? On crée des besoins qu’il faut satisfaire à tout prix et un sentiment de défiance et de méfiance du tous contre tous. Notre société n’a de cesse de détruire toutes les valeurs essentielles de l’humanité et de les remplacer par leur contraire …
 Nos politiciens professionnels font partie d’une vaste clique aristocratique et criminelle dans ses menées anti-démocratiques et anti-humanistes. Une clique bien organisée puisqu’elle a su se diversifier pour lancer ses agressions contre le peuple, la société et la civilisation. Elle a su investir les médias de masse pour sa propagande, noyauter les partis politiques et les syndicats, corrompre ou éliminer les administrateurs publics au niveau national et dans les organisations internationales pour y placer ses agents, financer des think-tanks et autres officines de désinformation, mettre à son service des universitaires et des pans entiers du système académique pour donner un vernis d’honorabilité et de sérieux à ses projets.

 Ces politiciens, menteurs et hypocrites qui ne cherchent qu’à maintenir leurs privilèges et qui sont totalement soumis à « la grande bourgeoisie » ne sont qu’un rouage de cette dangereuse machine néoconservatrice qui vise d’un coté à vendre l’Etat français, ses droits légitimes et ses biens à une poignée d’intérêts étrangers et d’agioteurs atlantistes et de l’autre à pousser les français à la zizanie civile. Comme disait un néoconservateur américain : « c’est en plongeant les masses dans le chaos que nous pourrons continuer à profiter de nos privilèges  »
 Même si globalement peu de gens sont conscients de cela, la grande majorité ressent confusément ce problème et ce mode de vie, si on peut appeler cela « vie », ne leur apporte que du désespoir. La solution des problèmes de l’humanité n’est pas dans l’accroissement des richesses, qu’il y ait de plus en plus de milliardaires, (dixit Macron), mais dans le bien vivre ensemble, dans la paix des cours et par conséquent des êtres humains entre eux, dans le développement de la noblesse des caractères, dans la sagesse, la fraternité universelle, dans la recherche de la vérité, dans la sincérité, dans l’éveil des consciences et dans l’unité.
Vraiment, c’est un miracle que les peuples ne se révoltent pas de façon violente. Mais pour combien de temps encore ? Peut-on espérer que ces politiciens se réveillent un jour avant qu’il ne soit trop tard ? Personnellement, j’en doute. Mais heureusement, d’autres « forces » agissent dans ce monde et œuvrent pour le bien être véritable de l’humanité. Il n’est pas trop tard pour les dirigeants politiques de changer d’optique s’ils ne veulent pas finir dans les poubelles de l’histoire, au mieux. Je préfère ne pas envisager le pire.


Monday, July 18, 2016







Comment sortir notre pays de la situation dans laquelle il se trouve, risquant de le pousser à la faillite ?




Afin de pouvoir résoudre les problèmes économiques et sociaux qui affectent actuellement et cruellement notre pays, il ne faut pas seulement compter sur notre gouvernement; il appartient à chacun des nous de mettre la main à la patte. Si tout le monde s'y met on devait réussir à redresser la situation de notre pays grâce à la matière grise dont il dispose en suivant une certaine démarche et en adoptant certaines pratiques.

Voici quelques règles à suivre qui permettraient de prendre le dessus sur les difficultés auxquelles notre pays fait face.


IDENTIFIONS LES PROBLÈMES ET LEUR IMPORTANCE

Arrêtons de dire que nos problèmes vont se résoudre tous seuls si Dieu le veut. Avant d'en appeler à Dieu, il faut savoir fournir les efforts nécessaires. Autrement dit, avant de se plaindre, il faut examiner et tenter toutes les solutions possibles. Une fois les efforts accomplis, on peut alors s'en remettre à la Providence. Arrêtons de nous obstiner à minimiser les problèmes car nous ne pourrons jamais trouver la solution qui correspond à leur ampleur réelle. Mettons en place une structure de gestion de crise, acceptons le fait que notre pays va très mal et se trouve presque au bord de la faillite et cherchons ensemble les voies et moyens de pouvoir l' en sortir.
CROYONS EN SON RÉTABLISSEMENT
Lorsqu'un pays est en difficulté, toutes les personnes qui sont impliquées dans le développement de son activité le sont aussi.

Nous devons, ainsi, convaincre tous les acteurs principaux de notre pays que la reprise est possible et qu'ils en sont les seuls garants.

ELABORONS UN PLAN DE RELANCE OU DE SAUVEGARDE

Un plan de relance ou de sauvegarde doit se mettre en œuvre sur une durée déterminée et en suivant un calendrier bien établi. Instaurons une ambiance propice à la construction et au développement des opportunités dont nous disposons et veillons à réconforter tous nos acteurs, afin de leur donner plus de moral et de confiance.


MISONS SUR LES ATOUTS DONT NOUS DISPOSONS


Lorsque nous aurons élaboré un plan de réduction des dépenses publiques, nous devons en établir un autre qui réduira les salaires ainsi que les avantages dont bénéficient les responsables politiques, administratifs ainsi que ceux des dirigeants des Sociétés d'Etat. Disons-nous que c'est grâce à ces efforts que nous pouvons retourner la situation et relever le défi. Plus nous maîtrisons les outils à utiliser pour relancer notre développement, plus le résultat sera rapide et performant !

ELIMINONS LES FRAIS INUTILES
Notre stratégie de relance doit être accompagnée d'un ensemble de mesures relatives à la réduction du personnel pléthorique de la fonction publique et celui des Sociétés d'Etat. Nos charges seront ainsi réduites, notamment celles qui se trouvent nettement supérieures au-dessus de nos moyens, et le rapport entre nos recettes et nos dépenses sera au moins équilibré, clair et transparent. N'hésitons, donc, pas à diminuer les coûts liés aux structures et aux domaines que nous maîtrisons le moins, à procéder à des réorganisations hiérarchiques, voire des licenciements économiques lorsque cela est nécessaire.


RÉVISONS ET ADAPTONS NOTRE ORGANISATION HIÉRARCHIQUE À NOTRE STRATÉGIE DE RELANCE

Misons sur la responsabilisation de chaque membre-clé de nos élites quitte à nous séparer de ceux dont la fonction s'avère inutile à nos besoins. N'hésitons, donc, pas à revoir les valeurs et les missions de chaque fonctionnaire, et à réaffecter nos salariés à des postes adaptés à leurs compétences et à la valeur ajoutée qu'ils peuvent vous apporter.

SACHONS TIRER LES LEÇONS DE LA CRISE
Le rétablissement de la situation de notre pays dépendra, ainsi, du passage en revue et de l'amélioration de notre management et de notre gestion. Donnons un nouveau souffle à notre pays afin de couper avec notre passé et nos erreurs précédentes. Lors de la réorganisation de notre structure, posons-nous les questions quant aux choix à faire, aux erreurs à ne plus commettre.

Ainsi, lorsque notre pays se trouve en difficulté, nous devons mettre toutes les chances de notre côté afin de repartir sur de bonnes bases, notamment, en évoluant dans un secteur porteur. Nous devons, ainsi, nous armer de courage, de sang froid et d'une capacité à nous projeter dans un avenir plus radieux. Sachons, également, admettre nos erreurs et en tirer profit en évitant de les commettre de nouveau.



@DAVID NELSON
07/18/2016